"Urban Tree" de Romain FROQUET
Savigny-le-Temple (77) ⋅ 2, rue Haute
Juillet 2018.
Dans le cadre du WALL STREET ART festival de Grand Paris Sud, Romain Froquet a réalisé sur un immeuble de Savigny-le-Temple (77) une oeuvre intitulée "Urban Tree".
"Je me sers de l’arbre comme symbole. C’est un symbole universel, un symbole de vitalité, un symbole fort puisqu’on parle d’enracinement mais aussi de verticalité. Avec l’arbre, on monte vers le ciel. Les gens peuvent se le réapproprier de plein de manières. Et quand je parle d’arbre, je parle d’être humain, d’appartenance à une planète et à une espèce. De par les racines, nous sommes tous connectés les uns aux autres."
Romain Froquet est un artiste-peintre autodidacte, né à Villeurbanne en 1982 et résidant à Paris.
Sur mur ou sur toile, les tracés sont noirs, d’épaisseurs diverses, avec une dynamique qui font indéniablement sa patte. La frontière entre l’abstrait et le figuratif est souvent floue : dans certaines compositions, on reconnaîtra des masques, des arbres, des oiseaux, des infrastructures. Parce que le trait souligne ce lien ténu entre la vie, la nature et l’homme au sens large, l’artiste en devenir choisit d’en faire son langage.
Dans le cadre du WALL STREET ART festival de Grand Paris Sud, Romain Froquet a réalisé sur un immeuble de Savigny-le-Temple (77) une oeuvre intitulée "Urban Tree".
"Je me sers de l’arbre comme symbole. C’est un symbole universel, un symbole de vitalité, un symbole fort puisqu’on parle d’enracinement mais aussi de verticalité. Avec l’arbre, on monte vers le ciel. Les gens peuvent se le réapproprier de plein de manières. Et quand je parle d’arbre, je parle d’être humain, d’appartenance à une planète et à une espèce. De par les racines, nous sommes tous connectés les uns aux autres."
Romain Froquet est un artiste-peintre autodidacte, né à Villeurbanne en 1982 et résidant à Paris.
Sur mur ou sur toile, les tracés sont noirs, d’épaisseurs diverses, avec une dynamique qui font indéniablement sa patte. La frontière entre l’abstrait et le figuratif est souvent floue : dans certaines compositions, on reconnaîtra des masques, des arbres, des oiseaux, des infrastructures. Parce que le trait souligne ce lien ténu entre la vie, la nature et l’homme au sens large, l’artiste en devenir choisit d’en faire son langage.